#Trans2025 : le supplément de Society est en kiosques

07.11.2025

Alors que l’équipe des Trans s’affaire dans les bureaux rennais pour vous offrir le meilleur festival possible, les journalistes de Society ont fait leurs valises pour partir à la rencontre de certains artistes de la programmation, de Marseille à Bristol en passant par Casablanca. Le résultat : un supplément entièrement consacré aux #Trans2025, inclut avec chaque exemplaire du magazine paru le 6 novembre.

Au sommaire du supplément de Society 

Les disques de chevet des Portugais MAQUINA., où l’on comprend un peu mieux les inspirations derrière leur son… machinique ;

On dégomme nos oppresseurs et on prend soin de nos communautés oppressées” : un portrait des quatre jeunes filles modernes marchant “sur les traces de Sexy Sushi ou Bérurier Noir” : Camion Bip Bip ;

Une plongée dans la lutherie sauvage avec le duo Gregailh, qui veut faire “sonner la récup’ ” à coups de flûtes en gants de vaisselle et de violons en boîtes de conserve ;

Un décryptage de la nouvelle génération de musiciens folkloriques à travers le parcours de Cocanha, le duo toulousain qui dynamite les idées reçues sur la musique traditionnelle avec leurs polyphonies en occitan ;

Des interviews : d’abord celle d’Asfar Shamsi, qui dévoile son rapport à la solitude et raconte les petits boulots pour s’acheter ses premiers instruments. Puis celle de la rappeuse Linlin, qui se livre sur son perfectionnisme, son ambition et sa passion pour un certain personnage de One Piece ;

Un reportage au cœur des folles soirées de la nouvelle génération du grime à Bristol, en compagnie du jeune prodige Ssadcharlie ;

Une rencontre avec le leader de Martin Dupont, Alain Seghir, qui raconte le décalage entre sa musique froide et la chaleur de Marseille, ainsi que sa courte mais savoureuse rencontre avec la superstar du zouk Jacob Desvarieux ;

Une plongée dans la grisaille des stations balnéaires du sud de l’Angleterre avec le collectif cosmique et psychédélique Blind Yeo, où il est question de connexion d’âmes dans les toilettes publiques, de mondes imaginaires incompréhensibles et de chants de gorge ;

Un récit de l’étonnant parcours de Retro Cassetta, l’ex-circassien devenu DJ et collectionneur de cassettes de raï, chaâbi, rap, rock et gnaoua du Maghreb des années 80, 90 et 2000. Le Marocain a accueilli Society dans son appartement de Casablanca, dans lequel trôneraient pas moins de… 20 000 cassettes !