On vous a déjà parlé de Bassvictim ? Possible. Ceux qui définissent leur musique comme de la “basspunk” viennent de sortir leur nouvel album intitulé Forever. Un disque qui nous rend de plus en plus impatient·es de les recevoir au Parc Expo le samedi 6 décembre ! On pense autant aux voix extatiques de The Dø qu’à l’electropop de Crystal Castles ou aux hymnes de M.I.A., mais le tout bel et bien ancré en 2025. Une musique taillée pour la scène ! 

Le samedi 6 décembre au Parc Expo (Hall 5)

Entre le son de la Neue Deutsche Welle (la new wave allemande des années 1980) et la rage du rap de Public Enemy, GRENZKONTROLLE incarne les raisons de se révolter pour 

toute une génération prise au piège entre l’impossibilité de se loger et la montée inexorable du néo-fascisme. Une rage qu’on retrouve dans les paroles (le single Revolution), mais aussi dans les prestations scéniques explosives de ce jeune groupe formé à Cologne. 

Le samedi 6 décembre au Parc Expo (Hall 4)

Parmi la génération de ce que l’on a appelé les Jeunes Gens Mödernes (la scène post-punk et cold wave française entre la fin des années 70 et du début des années 80), peu peuvent se targuer d’avoir été samplés par Madlib, Tricky ou Theophilus London : c’est pourtant le cas de Martin Dupont, groupe aussi culte qu’éphémère (7 ans d’existence), qui a eu la bonne idée de se reformer, et de sortir un nouvel album de morceaux originaux. Une première depuis leur séparation… en 1987 !  

Le jeudi 4 décembre au Parc Expo (Hall 4)

Depuis quelques années, la Rennaise Odoneila déroule un R&B aux sonorités pop et électroniques, dans la veine de Bonnie Banane ou d’Enchantée Julia. Aventureuse, la musique d’Odoneila (accompagnée à la composition par Pierre Bouilleau) est également accrocheuse et entêtante : il suffit de prêter une oreille à son single Pain In My Soul pour s’en rendre compte. Sur son nouveau morceau Été las, c’est cependant son côté expérimental qui prend le dessus ! 

Le jeudi 4 décembre au Liberté

Capable de faire danser un festival de jazz comme un entrepôt rempli de fêtards, le groupe Photons s’est autant nourri d’Avishai Cohen que de James Blake ou de Disclosure : un mélange de jazz et de musique électronique qu’on retrouve dans leur dernier EP Plier, miroir vibrant de leur intensité scénique. 

Le vendredi 5 décembre au Liberté

Tarta Relena, ce sont deux chanteuses catalanes espagnoles aux timbres très différents qui ont eu la bonne idée d’enrichir leurs harmonies (chantées en catalan) de discrets sons synthétiques et samples, afin d’enrichir les textures et atmosphères dans une démarche minimaliste. On les retrouve ici dans une session live sans aucun artifice, captée en plein milieu des Arènes d’Arles. Saisissant ! 

Le samedi 6 décembre au Parc Expo (Hall 8)